Vous avez dit "formation" ?

 

Face à l’obligation constante de maîtriser les budgets de formation, notamment la réduction des coûts liés aux déplacements, la volonté d’une plus forte implication des salariés, les entreprises recourent de plus en plus aux solutions de formation apportées par le développement des nouvelles technologies : e-learning ou plus récemment, le « digital learning » marquant le passage de la formation sur un ordinateur à la formation sur tous supports y compris les tablettes et les smartphones.

Les formations présentielles ne seraient-elles plus d’actualité ?

Que penser de la présence de plus en plus importante du numérique dans les actions de formation ? Ne placerait-elle pas définitivement la technologie au niveau des moyens et non de la stratégie pédagogique.

Or, c’est bien au niveau de la stratégie pédagogique que nous situons nos actions de formation. C’est avant toute chose, une rencontre et une analyse des besoins de formation, une clarification des objectifs pédagogiques et opérationnels, menées avec les représentants des entreprises. Cette première étape permet de connaître le contexte de l’entreprise, ses méthodes et ses procédures, ses contraintes. Ensuite seulement, nous proposerons un dispositif de formation utilisant (ou mixant) le ou les modes d’apprentissage les mieux adaptés et répondant à la problématique de nos clients.

Dans cette démarche, il n’y a pas d’opposition entre présentiel et e-learning, mais une complémentarité organisée en fonction de la stratégie pédagogique choisie.

Nos formations présentielles reposent sur trois principes essentiels :

  • en premier lieu : être au plus proche du terrain, via un processus d’acquisition de pratiques, de connaissances, de compétences, d'attitudes ou de valeurs culturelles, par l'observation, les mises en situation, l'essai, la répétition, l’échange et le partage. Seules ou en association avec d’autres moyen de formation, elles s’appuient sur tous les leviers de la formation pour adultes ;
  • quel que soit le dispositif de formation utilisé, l’apport d’une formation ne peut être réellement mesuré que dans la pratique du métier. C’est notre deuxième principe : prévoir, dès la conception de la formation, les moyens d’évaluer les acquis de celle-ci par l’élaboration de situations types de travail. Ces situations, utilisées par les collaborateurs formés et leurs managers, assureront, quelques semaines plus tard, un véritable suivi opérationnel basé sur les compétences acquises ;
  • enfin, associer à nos formations « une boîte à outils », contenant l’essentiel des savoir-faire et savoir-être réunis sous forme synthétique, permettant de s’y référer quotidiennement.

Ces principes sont la base de nos interventions de formation conçues avec les entreprises pour satisfaire leurs besoins spécifiques.

Ils ont largement fait la preuve de leur efficacité, et sont appréciés en tant que tels par les personnes que nous formons aussi bien que par leurs managers et les responsables des Ressources Humaines de nos clients.

 

La Directive Européenne sur le Crédit immobilier (DCI) transposée en droit Français par l’ordonnance du 25 mars 2016 introduit de nouvelles règles en matière de formation en imposant aux personnels des prêteurs et des Intermédiaires en crédits de justifier de compétences professionnelles à l’entrée dans la profession et d’actualiser ces compétences chaque année.

Le nombre de stagiaires ou de participants à une formation fait souvent l’objet de discussions entre le formateur et le demandeur organisateur de la formation.

Demandeur de formation et formateur ont souvent des difficultés pour se mettre d’accord sur la durée d’une formation. Pour le premier, c’est toujours trop long, pour le second trop court.

Avec le mois de septembre, les directions des ressources humaines et les responsables de formation s'engagent dans l'élaboration du plan annuel de formation, fil rouge de leurs travaux pendant toute la fin de l'année.

Si la voix représente le premier outil du formateur, pour se faire entendre ou se faire comprendre, les gestes, les attitudes corporelles, le visage et les yeux sont aussi des outils indispensables en animation. Définis comme les moyens de la « communication non verbale », ils permettent de renforcer les messages envoyés aux participants et sont donc très utiles en animation.

Le stress est un stimulus d’origine physique, mental ou émotionnel qui se manifeste souvent par une augmentation du rythme cardiaque et une montée d’adrénaline.